Fier(s) comme Artaban

 les "c' est  nous que je" hakuna matata, que je suis le meilleur là, à ma place d'élu, d'élite, d'éludeur et pire encore, méprisant pour la petite faune de vieux et vieilles sans moyen même pour aller au home. Il faudra bien que j'en parle  de ceux-là qui me disent être la seule à me plaindre, profitant de ce que d'autres dans la même impasse soit trop limités que pour se faire entendre. Mon arme? L'écrit! Pas que je sois digne de l'académie française ni que je sois supérieure en faculté d'analyses. Néanmoins, je sais et je sais que je peux, que j'ai les capacités de présenter des arguments incontestables, logiques, humains, surtout humains.


Dans une tentative humoristique qui va vous sidérer et que je vous expliquerai au fur et à mesure du développement du chapitre, non, je ne lave pas bien mes portes, ni de haut en bas, ni de bas en haut et non, je ne laverai pas les moisissures avec de la javel. Je ne le ferai pas pour une seule et bonne raison: je suis épuisée, d'eux, des espaces de jeux dont ils gaussez du succès,quant à mon énergie, je la garde pôur écrire, décrire qui sont autant ceux-ci  que ceux-là et qui nous sommes. 


L'artiste rebelle remplacera avec efficacité la locataire soumise aux moindre des  désidératas.  de certains. Je dénoncerai malgré ma fatigue morale et surtout grâce à mes capacités énergétiques psychologiques les abus de pouvoirs, certaines bassesses à visées électorales. Oui, je le ferai et rien ne me fera taire, sauf si je ne sais plus rester ici et qu'un déménagement soit possible pour moi et mes vieux chats et chiens. Je me tairai à ce prix car même si je ne suis pas à vendre, il se peut que je craque. Si je pars  ce sera de mon propre chef et là, je n'écrirai pas ce que j'ignore. Rien de ce que je couche ici même n'est exagéré, au contraire. Quoique je m'adapte aisément via des boules quiès des heures durant, plantées dans les oreilles démangeantes because chaleur et transpiration, je n'oublie pas ceux qui subissent encore et encore la dictature politique organisée. Le confinement nous offrit quelque répit bienvenus.. 


Je me dois de préciser, ce serait bien fastidieux pour un lecteur ou une au choix, de poursuivre sa lecture si je me tiens à ce mystérieux élément.  Vais "breacker" juste parce que je sature d'expliquer encore et encore cette idiote affaire de terrain de jeux mal situé. 


En gros et en bref, tant il est vrai que j'en ai la nausée de cette connerie. Elle empoisonne ma vie, celle de mes voisins et personne ne peut rien y faire, catr les bourgmestre et autres aidants s'enorgueillissent d'avoir placé au mitan de la Cité de logements sociaux, un espace de jeux une agora pour basket et ou le foot eu espace pour.. skate board? petit vélo? le tout agrémenté de bancs, tables, de groseilliers dont les groseilles pourrissent à même l'arbuste, car ici, les primaires ne sont pas intéressés. Je reste persuadée que certains se demandent encore si c'est comestible. Nos élus locaux avaient même repiqué des plants de fraisiers dans de petits bacs près des bancs. les ignorants ont eu tôt fait de les arracher. Un figuier a été volé, au même moment j'en avais acheté un au marché, croyez moi, on est venu me demander où je l'avais "eu". Je l'ai payé 15 euros et il est à moi. Je me fous bien de ce que vous installez et des destructeurs. Surveillez et il n'arrivera rien! Que tout ça m'énerve. Quel empoisonnement de vie depuis des années.  Les décideurs nous expédie toute la faune inculte. nous sommes cernés. à côté ils avaient installé un terrain de pétanque avec table et barbecue. Impossible au bon temps de mettre sécher ça puait le cadavre qu' on incinère jusque dans nos chambres.Une infection! bien évidemment ces festivités d'une vingtaine de jeunes s'accompagnait parfois de musique rap dont nous ne percevions que les basses, nous n'avion plus la possibilité d'entendre sainement quelque chose chez nous. Arrosée d'alcool, soutenues par des joints ou pire, ces festivités nous empoisonnaient les douces soirées d'été. Non content de nous pourrir la vie encore fallait il que certains cassent nos clôtures, volent nos affaires .. pas tous, je tiens à préciser, mais quand on n'en peut plus du vacarme, quand la tension monte en flèche, quand il faut sans arrêt éduquer son chien à ne pas aboyer sur de pourtant étrangers à la maison, on ne distingue plus trop le bon grain de l'ivraie. Ils ont tout cassé, sauf "le banc sacré'qu'un jour de colère je percutais d'un bon coup de pied. On avait tout brisé dans mon jardin et emporté du bois, certains outils, je n'ai jamais retrouvé ma pompe de citerne. A ma grande surprise, le banc s'écroula partiellement. Franchement je n'était triste que d'une chose, qu'il soit réparable..

le lendemain fut une horreur. Je fus accusée d'avoir cassé le banc, insultée menacée de mort, certains me l'on souhaitée. Je ne m'étendrai pas, car depuisj'ai voulu oublier; Moi même n'était pas fière de m'être laissée aller à des propos mal placés. Rencontrant les jeunes plus tard, par hasard, j'ai eu l'occasion de dire à quel point j'était désolée que nous en soyons arrivés à de telles extrêmités. Ce sont des adultes maintenant, je les ai connu enfants. certains se souviennent des glaces et galçons que je leur offrais pour voir leur visage s'illuminer. J'étais parfois en colère c'est vrai.. mais le plus en colère que je fus, c'est de ne pas parvenir à cohabiter, de ne pas parvenir à leur faire comprendre qu'ils vieilliraient eux aussi avec les conséquences qu'on connait pour la plupart. Avant toutes choses, je précise parce qu'à notre époque, on les accuse sans preuve, que ce n'était pas des basanés, ou alors de très loin, c'était pas visible. Juste des gosses de Cité que l'enseignement avait raté parce que soit les parents ne s'en occupaient pas assez à cause de leurs problèmes, soit ils étaient trop gâtés comme si fallait les laisser tout faire pour qu'adulte ils 'aient pas de contentieux familiaux. Pourtant, il y en aura, parce qu'il y en a toujours ou presque. Je précise car j'entends déjà les voix contradictoires: moi j'ai pas eu de problème avec mes parents.  Allez, tais toi va, nous en avons TOUS. Parfois, ils ne sont discernables qu'^la soixantaine bien établie.Celui qui n'est pas sur son lit de mort, n'en a pas fait le tour. Même avec une thérapie, nous subissons les résidus de ce que nous avons mal vécu avec les proches adultes. Le tableau n'est pas que sombre, il reste "un peu de tout'. Restons zen. Mon affaire n'a même pas encore commencé, je n'en suis qu'à planter le décor qui peut expliquer qu'à force, certains débordements sont inévitables et que la faute en revient aux mêle-tout qui en campagne électorale permanente agitent leur véreuses générosités et sèment le chaos. Quand ces arriviste feront ils LEUR travail et ne s'occuperont plus des "loisirs, nettoyage et de la pseudo convivialité qu'ils tentent d'imposer. Je e suis jamais si conviviale que reposée et on e se repose plus, on rate les joies des belles saisons, nous avons la pression permanente et souvent l'envie de cracher à la g.. de certains. Ouais j'exagère parce qu'il me fallait amener cette nouvelle méchanceté dans la série, je te crache dessus quand tu ne me laisse pas faire mes quatre volontés même à ton détriment, même presque chez toi. J'y envoie mes gosses quand et comme il me convient. Leur  parle pas, leur donne pas des bonbons empoisonnés, va au home.  Au bout d'un temps, on pourrait croire que les enfants "n'ont plus que ça pour se défouler" Mince alors, tu fais des gosses et faut que le bourgmestre fasse installer des jeux aux frais;.. de la région wallonne... non monsieur même si, ne dite pas ça.. il y est allé de la poche de la commune aussi et quoi qu'il en soit, d'où que vienne l'argent, il est cher payé par le contribuable.Par les contribuables. Cet argent n'est pas à la Région, pas à l'Etat, pas à la commune quoique vous en disiez. et si vous faites des enfants, j'imagine que vous avez prévu pour eux?? y'a plus rien en dehors de l'espace de jeux pour ces mioches que vous élevez comme des chats qu'on pousse dehors quand ils miaulent trop? des gens font des gosses et n'ont d'autres idées que de les laisser aller emmerder les riverains pendant qu'ils picolent, fument du shit et regarde la télé ou jouent sur leur smartphone en dépit du fait qu'ils ne s'occupent pas de leur progéniture, ils vous enjoigne d'aller au home si Vous ne les supportez pas. Ou va t'on? pour les plus grands, ils passent des heures a shooter dans un ballon.. pas un vrai match pas une préparation à une compétition, non certains sont là que pour shooter, ne rentre que pour boire et encore, manger parfois. Pour nous y'a pas d'espace de calme, ceux qui s'en vont sont tôt remplacé par ceux qui arrivent.. jusque tard 22 heures légalement mais ... les voitures juke box surgissent parfois, faut de la musique même poutr jouer au ballon et fort sinon ils n'entendent rien. derrière ma haie, les boules quiès vissées aux oreilles, je m'interroge tel le poète: jusques à quand? un mur antri bruit? c'est cher.. oui bien entendu et ce qu'ils ont fait là? et notre santé?? 


J'en ai encore marre de ce déballage. Je pense qu'il se terminera et je reviendrai à d'autres problèmes de société, d'autres injustices insupportables. Mais celles ci me fait l'effet d'un rabachage tant j'ai du la dérouler pour les uns et les autres. Et c'est moi qui doit comprendre: les enfants voyons.. un enfant c'est ainsi.. comme si je n'ai pas connu et élevé d'enfants.. un enfant n'a pas à passer une dizaine d'heure sur un espace de jeux.. il a une maison, une famille, il devrait avoir des activités à l'intérieur de la cellule familiale.. déjà ils vont à l'école.. puis espace de jeux et dodo.. mais les gens: pourquoi avoir fait des enfants? donne les moi.. ça ira mieux.


Vais encore arrêter. Vais porter à diner à un proche et puis soigner un vieux chien chez une personne handicapée. Je pourrais ne pas en parler, il faut cependant que je me donne à bien connaitre, surtout quand j'avancerai dans ce récit. On m'a tant insultée que si je ne remet pas ma personne là ou elle est vraiment, je finirai bien par passer par la "vieille folle" comme il est dit par un ... quoi? ignorant, voilà et je suis généreuse, je ne lui en veux même pas. Quand on est C-- on est C-- je sais plus de qui c'est.


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