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Affichage des articles du octobre, 2020

Bien tranquille sur mon blog, je vais et viens

 au gré de mes humeurs. personne ne me lit, sans doute est il bien dissimulé dans les méandres de la toile. J'écris pour personne et pour tout qui le trouvera.  Un havre de paix où j'exprime ce que bon me semble sans avoir à lutter contre la méchanceté, les insultes, les procès d'intention.  Un jour, il faudra bien que ça cesse, que quelqu'un "tombe dessus" me lise et qui sait apprécie ou s'emporte contre moi. Pourtant je ne suis pas ce que j'écris, je suis aussi ce que j'écrit. Le moment l'instant qui passe et change la donne. Mon espace de liberté, être dans mes mots, mes phrases mes opinions, avis, conseils et ne pas être puisque pas lue, pas connue. Comme un jeu, je viens, je vérifie le nombre de lecture et seuls dansent devant mes yeux le zéro. Zéeo lecture puis une, mais c'est moi qui ai relu. Drôle. Un jour oui, je balancerai l'adresse sur twitter ou facebook ou les deux? Je n'en sais rien, je ne me projette pas dans l'av...

Coronavirus mutants, variants et toute la pas sainte famille : le retour

 Le retour, le rebond, la seconde vague, tout ça tout ça et des mots, des maux, des morts. Allo mars, y' a  t'il une place pour ma ménagerie et moi?  Bon, va falloir m'accrocher là, ma fibromyalgie fait elle aussi un retour en fanfare, je tape avec les doigts aussi mal qu'avec mes orteils. Pourtant, je veux écrire! Je ne sais pas quoi, il y a tant à dire, trop même pour une seule réflexion. Ah que ne suis-je assez douée pour m'élancer sur le clavier, cheveux au vent dans la rédaction de choses légères, de roman d'amour, d'histoires inventées de toutes pièces qui m'éloigneraient de cette vie devenue insensée. Parce que outre ce retour que j'appellerais plutôt la conséquence de la folie humaine à vouloir "aller en vacances à tout prix" ou aller au restaurant, au café et tutti quanti. Déconfinés, les hurluberlus se sont précipités comme des affamés sur des plaisirs aussi inutiles que superflus. La "privation" n'avait duré que que...

La journée internetivale du rire

 Belgique/coronavirus: twalf poiiiintssss! Les imbéciles ont gagné! Covid19 s'est bien installé parmi nous. Les sophistes et leur arrogance de "je sais tout mieux que tout le monde" en regardant les nouveaux gourous du net qui prônent tout et n'importe quoi ont pris le pouvoir. Ils en ajoutent sans coups férir et la bouche ouverte, les lèvres pendantes, la bave aux commissures, les perroquets répètent: y'a rien, c'est un complot des gouvernements, de l'ordre mondial de Trump ou de Poutine, suivant , et ce pendant,  pour faire simple, que des gens crèvent de cette "bagatelle", qui en étouffant, d'autres en coma d'autres encore avec des séquelles qui dureront , pour le moment, nous voyons des mois, qu'en sera t'il des années! Longue phrase à relire, j'en conviens mais j'avais très envie de grouper les mots de la situation. Mon Dieu que cette humanité est décervelée,sous des prétentions de connaissance de grands secrets, ils ...

Et le Monde a changé

 Le corona dévoile les vraies natures de chaque humain. Leur fuite dans l'inconnu sous mille prétextes complotistes ou autres ou leurs replis stratégiques abêtis ou abrutis pas les médias. Se révèlent aussi, le je m'en foutisme politique et l'incompétence de ces derniers. Je passe les détails économiques  et que sais je?  Le rebond du virus appelle la même superficialité de la plupart, ils savent plus se faire à bouffer le mois complet: faut des restos, ils savent plus habiter leur maison! Vacances... d'été et asteur de Toussaint, de Noël/Nouvel an et Pâques bien entendu.. les week end en amoureux ou de pseudo- décompression. Pardonnez leur, ils ne savent pas ce qu'ils font mais sans aucun doute, ils ne s'aiment plus les uns les autres. Fut ce même un jour le cas? Je, oui je, voudrais aussi décompresser, partir pas pour fuir mais voir autre chose que mes 2/3 km2 Sur lesquels je déambule depuis mars. Pour l'illusion, j'ai commandé mes coupons de chemin de...

Automne, pluie, calme retrouvé, personne sur les jeux derrière chez moi

J'attend le vent depuis ma position assise sur ma paillasse improvisée. Un chat sur les genoux, d'autres autour de moi. Le Benji dort dans son lit? nid? de vieillesse . Matin gris perle, des gouttes d'eau enfilées sur les branchettes encore vertes du Tamaris. Les noisetiers colorés d'ocre dessinent une vieille photo, une nature morte. Mon point de vue sur le terrain m'envoie les plus belles images de l'automne naissant. Comme un album changeant de jour en jour. On devrait tous s'éveiller avec vue sur l'extérieur, au lieu de quoi, on vit en majorité dans un enfermement de murs et d'objets décorés par nos soin, acquis par nos choix.  Insensée suis-je dans mon délire poétique de ce jour de début d'octobre. No sens dans mes propos, l'heure est grave.: Trump hospitalisé.. Ce n'est rien disent ils. Sur twitter, c'est sa fête. Qu'est ce que ça peut bien être de représenter un des personnages les plus honni de l'histoire à cet âge ava...