Coronavirus mutants, variants et toute la pas sainte famille : le retour
Le retour, le rebond, la seconde vague, tout ça tout ça et des mots, des maux, des morts. Allo mars, y' a t'il une place pour ma ménagerie et moi?
Bon, va falloir m'accrocher là, ma fibromyalgie fait elle aussi un retour en fanfare, je tape avec les doigts aussi mal qu'avec mes orteils. Pourtant, je veux écrire! Je ne sais pas quoi, il y a tant à dire, trop même pour une seule réflexion. Ah que ne suis-je assez douée pour m'élancer sur le clavier, cheveux au vent dans la rédaction de choses légères, de roman d'amour, d'histoires inventées de toutes pièces qui m'éloigneraient de cette vie devenue insensée.
Parce que outre ce retour que j'appellerais plutôt la conséquence de la folie humaine à vouloir "aller en vacances à tout prix" ou aller au restaurant, au café et tutti quanti. Déconfinés, les hurluberlus se sont précipités comme des affamés sur des plaisirs aussi inutiles que superflus. La "privation" n'avait duré que quelques mois. Si les gens qui ne partent jamais, ne vont nulle part et mange chez eux par manque de moyens devaient à l'instar de cette foule narcissique autant qu'égoïste, se sentir privée, la moitié des humains seraient mentalement malades.
Juillet aout et même septembre furent les mois de la précipitation, du faire la fête, comme si il n'y avait de fêtes possibles que dans ces migrations aléatoires au fil des tarifs des agences de voyage ou encore comme si manger à la maison n'était pas une fête au point de devoir aller au resto comme à walibi. Bon sang, on se passe de tant de choses pendant tellement de mois parfois, par manque d'épargne mais aller au resto est devenu obsessionnel. Et là ça recommence, le virus fait fureur mais les enfants gâtés internationaux, ont besoin de "vacances de toussaint,de neige, avant celle de carnaval, de Pâques et les ponts, 1er mai, 8 mai et que sais-je?
Est ce cela vivre? car du coup, je suis (comme beaucoup d'autres) morte depuis des décennies. Les obsédés se sentent privé par les décisions du gouvernement et vont jusqu'à manifester. Contre ceci, celà, peut importe du moment qu'ils sont anti/tout, ils se sentent vivants. A coup de "je peux" aller là ou ici, ils ont arraché au gouvernement (provisoire) des autorisations mortelles, un déconfinement ahurissant de bêtise. Alors, oui, tu peux, tu peux aussi crever ou pire faire crever les autres. Je suis dégoûtée d'appartenir à cette faune d'irresponsables. Les sots courent les rues et les fous dansent mais derrière les vitres des hômes, il ne faut pas de pluie pour mouiller les carreaux, les yeux pour pleurer des petits vieux y suffisent. Alors la société se déchaine contre les ordresn parce que papy, mamy vont se laisser descendre. Mais bordel que font papy/mamy dans ces murs? qui les y a mis? ah oui, les gens travaillent... pour aller au resto et en vacances! pas le temps pour ceux qui nous ont élevés. Les maisons sont toujours trop petites et puis, chacun sa vie n'est ce pas? On va les voir, le dimanche, une tartelette à la main, le corona niché dans nos vêtements. La honte que d'être humain en ce 21éme siècle.
On me dira que si tout le monde pensait comme moi, les agences de voyages, les restos, les gîtes et bien d'autres choses feraient faillite! Mais personne n'a encore compris? Il faut que certaines choses disparaissent, s'accrocher aux vieilles habitudes ne nous rendra pas le climat, au contraire! Aider ces institutions du loisir est comme un permis de polluer encore et encore. Il faut changer de paradigme. Qu'est ce qui n'est pas clair là dedans? je ne cite que quelques exemples, ils sont une foultitude. Nous avont fait de l'inutile un business et prétendons continuer à tout prix, avec les aides du gouvernement bien entendu. Autrement dit avec l'argent des citoyens même de ceux qui n'en profiteront pas. Je dis Stop, il faut que ça cesse. retrouver la raison, il faut que chacun aie un revenu afin de vivre dignement, avec suffisamment afin qu'aider un voisin, s'occuper de nos aieuls, de nos enfants, avoir une maison digne de ce nom ne soit pas lié à l'occupationnel. Car il s'agit bien de ça: créer du superflu est étroitement lié à une activité sans intérêt mais occupationnelle. Je sais j'y vais fort et d'ailleurs j'arrête. La colère me gagne et ce n'est bon pour personne.
e retour du corona additionné d'un retour ou regain du terrorisme.Décapité dans la rue, dans l'église par des gens très jeunes au nom d'un prophète, qui plus est: le leur! 1500 ans de religion contre 2000 ans. Le retard évidemment joue. Mais aussi, l'inculture, le non respect de la vie d'un côté de la sensibilité de certains de l'autre. Au nom de la laïcité,de la liberté d'expression, des droits au blasphème et que sais-je, on blesse l'Autre sciemment et sans état d'âme. N'y a t'il donc rien d'autre à faire? Est ce bien celà le vivre ensemble? la liberté de blesser l'Autre dans ce qu'il a de plus cher? Nous savons que ça blesse, alors pourquoi le faisons nous? Parce que la terre devient majoritairement peuplée d'idiots qui veulent le pouvoir sur les autres et en avoir raison. Il n'est pas nécessaire, ni utile et encore moins justifiable de créer des carricatures de tout et n'importe quoi ou qui, encore moins de es montrer dans des journaux divers et certainement pas vital de les montrer en classe après avoir fait sortir des enfants à la suceptibilité exacerbée par leurs us coutume et religion. N'est il pas plus urgent et je cautionne URGENT d enseigner le respect de l'autre qui disparait comme peau de chagrin? Que dirions nous si nous étions obligés de voir des caricatures de mauvais goût de nos parents? régulièrement, en ayant aucun recours?Bon sang, respectons les usages des différents de nous car nous sommes différents d'eux.je dis eux sans désigner personne en particulier, moi, ça me choque quand on choque délibérément pourquoi au juste? le buzz? Faire l'intéressant? démontrer à des gosses que pour n'avoir rien respecter, on se fait assassiner? De plus, faire sortir les "enfants du prophète" n'est ce pas un peu faire sortir les concernés afin de "parler entre nous"? Je sais que beaucoup vont s'insurger, je ne respecte pas la mémoire d'un martyr diront ils. Réfléchissez vous les choqués, vous qui me critiquez, ça fait plaisir le non respect n'est ce pas?
Je ne voulais pas parler de ça et c'est venu tout seul. Je voulais exprimer mon désir d'un autre monde, d'une autre civilisation, l'envie d'autre chose que la provoque, les antis, les contrariants, le non pour le non, l'accord par principe. Je voulais faire une réflexion sur ce qui me semble perdu: le droit de l'autre à exister tel qu'il est. Le droit d'être vieux et vulnérable sans se retrouver en cage, le droit de ne pas être malade par excès de je m'en foutisme des rebelles de pacotille qui préfère théoriser sur de pseudos complots dignes de la science fiction même si bien sûr on ne nous dit pas toujours tout et si nous savons que certains tuent au nom d'une raison cachée très souvent matérialiste, le droit d'être différent, de penser autrement et d'aimer ce qu il nous plait d'aimer. Jésus, bouddha, Dieu ou le mage d'à côté, ce qui nous fait du bien, tout est bon à prendre et à aimer, libr'à a chacun de choisir orienté par ses parents, son éducation ou sa recherche personnelle. je n'excuse pas qu'on décapite des gens, qu'on assassine qui que ce soit mais pas plus un Ricain qui tue en territoire arabe, qu'un musulman qui tue sur la terre qui a accueilli ses parents ou lui-même suivant. Pourquoi vouloir heurter quand on sait combien ça fait mal? Pour avoir raison de l'autre? Le pouvoir, le moi-je et autres billevesées. Quelle stupidité dans le genre humain. Je retourne au bien-être animal car je me sens de moins en moins capable de frayer avec certaines franges de la population. Les arrogants, les irrespectueux, les anti par principe et sans analyse, je ne peux plus, j'ai essayé, mais peine perdue. Ermite dans cette fourmillère comportant trop de cigales je préfère être.
il me faudra revenir à ce texte, l'améliorer, corriger les fautes que je ne ferais pas au bic mais que la frappe au clavier me conduit à faire. En fait, je ne sais pas taper et je regarde mon clavier et très peu mon texte. Erreur, je sais!
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