Bien tranquille sur mon blog, je vais et viens
au gré de mes humeurs. personne ne me lit, sans doute est il bien dissimulé dans les méandres de la toile. J'écris pour personne et pour tout qui le trouvera.
Un havre de paix où j'exprime ce que bon me semble sans avoir à lutter contre la méchanceté, les insultes, les procès d'intention.
Un jour, il faudra bien que ça cesse, que quelqu'un "tombe dessus" me lise et qui sait apprécie ou s'emporte contre moi. Pourtant je ne suis pas ce que j'écris, je suis aussi ce que j'écrit. Le moment l'instant qui passe et change la donne.
Mon espace de liberté, être dans mes mots, mes phrases mes opinions, avis, conseils et ne pas être puisque pas lue, pas connue.
Comme un jeu, je viens, je vérifie le nombre de lecture et seuls dansent devant mes yeux le zéro. Zéeo lecture puis une, mais c'est moi qui ai relu. Drôle. Un jour oui, je balancerai l'adresse sur twitter ou facebook ou les deux? Je n'en sais rien, je ne me projette pas dans l'avenir. je reste là où je suis ni passé et pas futur, à peine présent qui court et s'envole, laissant le temps marquer mes rides naissantes. le temps? Une notion plutôt farfelue. le temps se lit en conséquence plus qu'en lui-même.
Le printemps n'est pas sitôt fini dans ses humeurs pastelles que l'éta nous accable sous le soleil et l'automne le déplace dans un virevoltement de couleurs pourpres, on attend l'hiver, sa blacheur, ses eau gelées et on fini "un" voyage en se retrouvant devant un crocus, une jonquille, un muguet. Merde, on a rien vu, tout est passé et toujours à la même place on essaie d'arrêter quelques images agréables pour en faire une éternité. ou va le temps? le temps perdu, le temps bénit, le temps de joie. ou va cet espace qui conduit inexorable vers un temps de fin, un sortir fu temps à tout jamais. Qu'est ce que jamais? Comment savoir? comment le saurais depuis ici et maintenant, ce maintenant à peine entrevu qu'il est passé. Regarde dit l'oiseau, regarde: quel est mon souci? En ai-je? ai-je une montre pour mesurer ce qui passe? L'oiseau fait son nid, nourrit, se nourrit, refait son nid et ça lui suffit qu'une main lui aie concocté une boule de graisse pour trouver le bonheur par les grands froids. Certains partent pour d'autres paysages pas d'autres teps, puis s'en reviennent, hirondelles de printemps, découvrir si son nid est toujours là et si pas, en refait un en silence.qu'importe le temps si la vie est aux amours, aux naissances. Mais alors, mes enfants perdus? aurais je été à ce point inutile lors de mon passage? Je ne le crois pas, j'ai construit un nid pour quelques âmes animales en souffrance. Un joli nid d'êtres vieillissant à mes côté. Je ne suis pas partie sous d'autres cieux, soigner des orangs outangs comme je le souhaitais, je n'ai pas vu le monde, mon nid toujours occupé m'a retenue. Quand je vois de belles images à la télé ou dans des vidéos, je sais que j'aurais voulu connaitre le monde, il est sans doute trop tard. partir avec mes compagnons de vie, oui, je dirais encore oui car Trump (que je n'apprécie pas du tout) avec ses années en plus que mon âge, brigue encore un poste de président des états unis, Biden fait mieux encore. Moi, à leurs côtés, mais voyons, je suis une jeunette! Comme quoi même Trump peut me donner quelques espoirs.
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